Résolument engagé dans la préservation de la souveraineté du tissu socioéconomique du Gabon depuis son arrivée à la tête du pays le 30 août 2023, le Président de la Transition Général Brice Clotaire Oligui Nguema, ne ménage aucun effort pour matérialiser les attentes des populations. À cet effet, tandis que le pays fait souvent face à des pénuries de sucres ces derniers temps, il a ordonné le rachat des actifs de la société Sucaf Gabon détenue par le groupe Makaron, membre du groupe français Somdia en cessation d’activité
au Gabon.
À cet effet, le 9 avril dernier, l’État gabonais s’est porté garant de cette acquisition de la totalité des actifs de Sucaf Gabon qui a donné lieu dans la foulée à la création d’une nouvelle structure sucrière désormais dénommée » Les Sucreries du Gabon ». C’est dans cette optique que le Président de la Transition , Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema a présidé ce vendredi 27 avril au Palais Rénovation une séance de travail à laquelle ont pris part les membres du CTRI, le
ministre de l’économie et des Participations, Mays Mouissi , ainsi qu’une délégation de la
société MGB Group conduite par son Président Mehmet Faruk Basturk.
Au cours de cette rencontre, l’État gabonais a procédé à la signature d’un partenariat avec l’investisseur turc MFB Group afin de pérenniser les activités de ladite compagnie conformément aux normes en vigueur dans notre pays. Il s’agira d’assurer la continuité de la production et de l’approvisionnement du sucre sur l’étendue du territoire national. Pour sa part et selon le partenariat signé, la société MGB Group va investir une enveloppe de 1 milliard de FCFA pour le renouvellement des équipements, la création de plusieurs autres emplois et accélérer la compétitivité des Sucreries du Gabon.
Par cette acquisition et ce nouveau partenariat, fruits de la vision d’Oligui Nguema d’accélérer le processus de développement durable du Gabon, le Chef de l’État permet également à 250 gabonais de garder leurs emplois tout en matérialisant l’idée d’une nationalisation de l’économie du pays placée jusque-là dans la main des entreprises étrangères.